Les travailleurs du quotidien national Le Soleil continuent de mener le combat pour la sauvegarde de leur outil de travail et de leur dignité face à un directeur qui ne cesse depuis sa nomination, de fouler au pied et comme bon lui semble dans le plus grand manque de respect les textes et toute personne ou entité syndicale qui essaie de défendre les hommes et femmes du quotidien national Le Soleil. Dans leur communiqué numéro 2, les travailleurs s’indignent du comportement de M Yakham Mbaye qui pour cette fois n’a pas hésité de proférer des insanités à l’égard des femmes de cette boite, lui incapable de décliner une bonne vision pour le Soleil.
Depuis l’arrivée de Yakham Mbaye à la tête du Soleil en décembre 2017, le vent de l’indécence et de la grossièreté souffle dans l’entreprise. Cet homme en conflit avec la décence et qui n’en a cure des valeurs de la République et de l’État de droit a transformé l’institution en un laboratoire d’insanités et d’impolitesse.
Adepte du langage ordurier pour, sans doute, masquer sa médiocrité et son incompétence, Yakham Mbaye a atteint les sommets de l’infamie en accusant les femmes du Soleil d’être de mœurs légères. Pourquoi diantre Yakham Mbaye s’arroge-t-il le droit d’insulter et de calomnier les dignes travailleurs du « Soleil » ?
Lors d’une prise de gueule avec un agent d’une grande probité, qui ne pouvait supporter ses tristes élucubrations, il lui a balancé : » … C’est mieux que d’avoir des couilles bien grosses originales comme peut-être les vôtres qui vous servent à culbuter une femme mariée pour ensuite aller faire ses ablutions, prier et enfin se dandiner dans les couloirs de l’entreprise pour y semer ton venin ». C’est ainsi qu’il a humilié publiquement un respectable père de famille. Cette calomnie grave et infondée, publiée dans le groupe WhatsApp du Soleil, a vexé toutes les braves femmes de l’entreprise et porté atteinte à leur honneur, leur dignité. Cette médisance montre à bien des égards le degré de puérilité, d’irresponsabilité et d’immaturité d’un homme vomi par ses administrés et dont le cafardage, la médisance et la délation restent les seules armes pour déstabiliser ses vis-à-vis.
C’est cela le quotidien de Yakham Mbaye, incapable de décliner une bonne vision pour le Soleil. Un Directeur général qui passe son temps à vilipender, à diffamer et à accabler d’injures ses agents, peut-il s’offusquer qu’on le traite de con ? La réponse coule de source surtout quand, dans ce même groupe WhatsApp de près de 200 personnes,
Yakham Mbaye se gargarise de sa vilenie, de sa grossièreté et de sa turpitude en ces termes irrespectueux : » Je fume, je bois, je fornique. Et je l’assume ». LE SOLEIL une institution cinquantenaire, ne mérite pas un tel affront.
Le Collège des délégués du personnel du Soleil