Ce vendredi 4 juin, Facebook a annoncé suspendre Donald Trump pour deux ans, et que les personnalités politiques seraient désormais sanctionnées comme les autres utilisateurs quand elles enfreignent les règles du réseau social, notamment en cas de désinformation.
C’est une première qui risque de faire du bruit.
L’ex-président américain ne pourra revenir que quand les « risques pour la sécurité du public auront disparu », a précisé la plateforme, qui l’avait exclu temporairement le 7 janvier dernier pour avoir encouragé ses partisans lors de l’attaque du Capitole à Washington, une décision sans précédent.
Réagissant à la suspension de Facebook, Trump dénonce une « insulte » à ses 75 millions d’électeurs.