«Le rétablissement immédiat de l’ordre constitutionnel et de l’état de droit au Mali ». C’est ce à quoi appelle le secrétaire général des Nations unies. Ainsi, après la Cedeao, Paris et la Commission de l’Union Africaine, c’est autour des Nations unies de « condamner fermement » le coup d’état au Mali.
« Le Secrétaire général réitère ses appels à une solution négociée et à un règlement pacifique de leurs différends. Il exprime son plein appui aux efforts de l’Union africaine et de la communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest pour aboutir à une solution pacifique à la crise actuelle au Mali, notamment par le biais des bons offices de son Représentant spécial » lit on dans le communiqué signe par le porte parole du secrétaire général des Nations unies.
Stéphane Dujarric « exhorte toutes les parties prenantes, en particulier les forces de défense et de sécurité, à faire preuve de la plus grande retenue et à défendre les droits de l’homme et les libertés individuelles de tous les Maliens ».