Les quotidiens parvenus ce jeudi 28 février 2019, à Teranganews, continuent de parler de la présidentielle du 24 février avec la publication des résultats provisoires de la présidentielle de dimanche 24 février, prévue prévue ce jeudi 28 février à 12 heures au palais de justice.
Alors que les résultats provisoires sont attendus ce jeudi 28 février 2019, le quotidien L’AS barre à sa Une :
« Le Sénégal retient son souffle ».
L’AS souligne que, « c’est toujours de vérité pour les candidats de la présidentielle. C’est aujourd’hui en fin de journée matinée que la commission nationale de recensement des votes, présidée par le juge Demba va délivrer les résultats provisoires du scrutin de dimanche dernier ».
Selon toujours L’AS « le président sortant Macky Sall a pour sa part rappelé en Conseil des ministres « la nécessité de faire respecter les procédures prévues par les lois, notamment la Constitution et le Code électoral, en vue de la proclamation des résultats provisoires et définitifs’’ de l’élection de dimanche », rapporte la publication.
La publication de poursuivre avec les recommandations du président sortant, « demandé au gouvernement de préparer l’investiture du nouveau président élu, de nombreux autres journaux partant de cette adresse en Conseil des ministres pour dire que Macky Sall est déjà dans les habits du président élu ».
Dans Enquête de ce jour c’est le droit de l’hommiste Alioune Tine qui tire la sonnette d’alarme sur l’état de notre démocratie.
«Notre démocratie est malade », estime pour sa part le directeur de l’ONG Amnesty International en Afrique de l’Ouest, Alioune Tine dont le quotidien Enquête relaie le « discours teinté d’espoir et d’inquiétude’’, dans un contexte post-électoral « plus que tendu ».
« Passionné, engagé et déterminé, le militant chevronné des droits humains prévient contre ces signaux qui menacent la démocratie et la paix au Sénégal et estime que les leaders politiques doivent être à la hauteur de la dignité manifestée par le peuple’’ sénégalais à l’occasion de ce scrutin présidentiel », écrit le journal Enquête.
« Si on ne fait pas attention au parti-Etat, ça va faire exploser le vivre-ensemble », avertit Alioune Tine, et qui invite à « un grand débat post-électoral’’ pour essayer d’accorder les acteurs politiques.
Dans le même sillage, Le Quotidien revient pour le rassemblement des femmes de l’opposition dont celles du parti Rewmi d’Idrissa Seck à leur siège pour exiger un deuxième tour, inévitable selon elles.
« Les femmes de l’opposition veulent un second tour ». « Munies de leurs ustensiles de cuisine’’, elles ont tenu un point de presse ’’pour réfuter les résultats avancés par le PM, Boun Abdallah Dionne, et en ont profité pour inviter les magistrats à assumer leur rôle », indique le journal Le Quotidien.
DakarTimes salue à sa Une la « la parfaite organisation de la présidentielle » et aprle « d’un brillant succès du commissaire Tanor Thiendella Fall »
Selon le journal, « les urnes, les isoloirs, les registres, les listes électorales, le fichier, les stylos, les bulletins de vote, rien a été oublié par la direction générale des élections (DGE), lors de la présidentielle de février 2019 », constate DakarTimes.
« Une grande première, dans l’histoire du Sénégal, qu’une élection se tienne avec une organisation matérielle aussi parfaite et saluée par les partenaires du Sénégal, notamment l’Union euroépenne et les Etats-Unis », indique le journal.
En sport pour finir, Aliou Cissé a publié hier sa liste ouverte aux jeunes avec l’arrivée de quatre nouveaux joueurs et des retours pour affronter en match comptant pour la 6e journée des éliminatoires de la coupe d’Afrique des nations Egypte 2019, prévu le samedi 23 mars contre le Madagascar et en amical contre le Mali le 25 mars.
Une arrivée des jeunes dans la tanière que le quotidien spécialisé Stades évoque et nous fait savoir que « Cissé pique les olympiques de Koto ».
Ce dernier sélectionneur des U23 souligne que « ces jeunes Krépin Diatta, Kobaly Ndiaye, Mamadou Loum Ndiaye devaient être laissés avec les U23 ».
Parmi les retours on peut citer ceux de Santy Ngom, Moussa Wagué.